"Camarades d’HEC et passionnés de cinéma, nous avons décidé de nous lancer dans l’aventure de la production cinématographique."
À PROPOS
QUI SOMMES-NOUS ?
Pendant que Victor se prenait de passion pour les chiffres derrière le cinéma, Grégoire réalisait les films de fin d'année pour les différentes promotions de notre école. Nous avons fait ensemble nos premiers courts-métrages autoproduits et nous nous sommes rapidement retrouvés après nos premières expériences professionnelles en production (chez On Entertainment, UGC, Sony Pictures, Altice Studio, etc. )
En mars 2020 nous avons donc créé les Films du Chêne Rond, un nom en rappel d’un lieu-dit de la banlieue lyonnaise cher à notre cœur. Nous avons rapidement été rejoints par Célia, qui partage avec nous le goût pour un cinéma détonnant, radical, spectaculaire.
Autour des Films du Chêne Rond nous voulons rassembler des auteurs et des talents qui partagent notre envie d'un cinéma actuel, tant par son fond que par sa forme. Nous aimons les histoires qui abordent des sujets contemporains et des thématiques qui parlent à notre génération, mais aussi les approches singulières, qui n’hésitent pas à s’affranchir des codes des genres pour proposer des objets hybrides et inattendus
Notre ambition est ainsi d'accompagner des auteurs et talents de notre génération qui proposent un cinéma radical dans sa réalisation et éloquent dans les thématiques qu’il aborde.
Et pourquoi "Les Films Du Chêne Rond" ?
A l’origine, le Chêne Rond est un simple lieu-dit, situé sur la riante commune de Dardilly, en banlieue de Lyon. Entre les kilomètres 454 et 456 de la Route Nationale 7, se dressent ici quelques villas cossues, le long d’une plaine aux allures de campagne. C’est sur ces terres reculées que Victor a vécu des années d’une adolescence mi-urbaine mi-sauvage, partagée entre Lyon et les bois du coin.
Pour Victor, le choix de ce nom est donc une référence affectueuse aux origines. C’est un clin d’œil amusé à un lieu qui n’a rien d’hollywoodien : banlieue bourgeoise semi-rurale, lieu-dit au bord d’une route nationale, isolé de tout village, où l’unique activité économique consistait en un restaurant routier, jusqu’à la fermeture de ce dernier, il y a quelques années. L’idée de faire de cet endroit le bastion de nos ambitions cinématographiques avait quelque chose de décalé et comique.
Ce nom représente une alliance symbolique entre un végétal séculaire et une bobine de pellicule